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Reconnaissance territoriale
L’AQPAMM reconnaît que ses locaux sont situés en territoire autochtone, lequel n’a jamais été cédé. L’AQPAMM reconnait la nation Kanien'kehá: ka comme gardienne des terres et des eaux sur lesquelles nous nous réunissons aujourd'hui. Tiohtiá:ke / Montréal est historiquement connu comme un lieu de rassemblement pour de nombreuses Premières Nations, et aujourd'hui, une population autochtone diversifiée, ainsi que d'autres peuples, y résident. C’est dans le respect des liens avec le passé, le présent et l'avenir que nous reconnaissons les relations continues entre les Peuples Autochtones et autres personnes de la communauté montréalaise
Être empathique
Essayez d’abord de comprendre ce que vit la personne en faisant preuve d’empathie, en créant un climat sécurisant et sans jugement pour lui permettre de s’exprimer et de se sentir écoutée.
Respecter ses propres limites
Il est important de respecter vos limites. Il ne faut pas hésiter à référer la personne à un·e autre intervenant·e si vous ne vous jugez pas en mesure de l’accompagner.
Laisser la personne s’exprimer
Face à un sentiment d’impuissance, certains intervenant·e·s peuvent avoir le réflexe de prendre le contrôle de l’entrevue et de suggérer rapidement des interventions. Pourtant, laisser la personne s’exprimer est thérapeutique et aide à planifier l’intervention.
Croire la personne
Lorsqu’une personne dévoile une situation d’intimidation ou de violence, il est important de la croire. Ce type de révélation peut être difficile à faire pour la personne et mener à des incohérences dans son récit. Cela ne veut pas dire que l’intimidation n’a pas lieu.